FAF_La retraite : quels choix de placements faire afin de l'optimiser ?
Les conditions du départ en retraite et la pension mensuelle perçue lors de celle-ci sont au cœur des préoccupations actuelles des médecins. Cependant, le système de retraite par répartition assure aux retraités le versement de pensions en rapport avec les revenus qu'ils ont tirés de leur activité (1).
L’âge moyen d’installation des médecins et les modifications de la typologie de l’exercice médical (libéral, salarié, mixte) amènent un bouleversement dans l’avenir des retraites. Par ailleurs, l’augmentation prévisible de l’espérance de vie et donc de l’âge du départ en retraite et de la durée de celle-ci imposera aux jeunes médecins d’avoir un parcours professionnel complexe avec des changements de statuts et donc d’anticiper encore plus les choix à faire pour leur avenir de retraités (2).
L’évolution générale du montant des retraites perçues (augmentation du nombre des retraités et baisse de celui des cotisants), la fiscalité, les décisions politiques, l’évolution de l’économie française et européenne, impactent directement les cotisations et le montant des retraites actuelles ou à venir. Devant cette problématique, le médecin libéral doit donc anticiper les conséquences financières de son départ à la retraite et surtout faire les bons choix dans la gestion de son activité en vue de la retraite (3).
Depuis longtemps, les médecins ont la possibilité d’épargner en vue de leur retraite dans des placements couverts par la loi Madelin, des assurances non déductibles ou de type Préfon ; tous ces placements ont des avantages et des inconvénients qu’il faut pouvoir évaluer (4).
Depuis le 1er octobre 2019, le PER, nouveau produit d'épargne retraite (5), a été mis en place en vue de remplacer à terme les anciens dispositifs : que faut-il en penser ?
L’objectif général de ce programme est de fournir aux participants les informations sur des points patrimoniaux et fiscaux afin de leur permettre de préparer au mieux leur cessation d’activité en anticipant les décisions concernant leurs compléments de pension et d’impliquer l’éventuel conjoint collaborateur dans cette réflexion.
L’âge moyen d’installation des médecins et les modifications de la typologie de l’exercice médical (libéral, salarié, mixte) amènent un bouleversement dans l’avenir des retraites. Par ailleurs, l’augmentation prévisible de l’espérance de vie et donc de l’âge du départ en retraite et de la durée de celle-ci imposera aux jeunes médecins d’avoir un parcours professionnel complexe avec des changements de statuts et donc d’anticiper encore plus les choix à faire pour leur avenir de retraités (2).
L’évolution générale du montant des retraites perçues (augmentation du nombre des retraités et baisse de celui des cotisants), la fiscalité, les décisions politiques, l’évolution de l’économie française et européenne, impactent directement les cotisations et le montant des retraites actuelles ou à venir. Devant cette problématique, le médecin libéral doit donc anticiper les conséquences financières de son départ à la retraite et surtout faire les bons choix dans la gestion de son activité en vue de la retraite (3).
Depuis longtemps, les médecins ont la possibilité d’épargner en vue de leur retraite dans des placements couverts par la loi Madelin, des assurances non déductibles ou de type Préfon ; tous ces placements ont des avantages et des inconvénients qu’il faut pouvoir évaluer (4).
Depuis le 1er octobre 2019, le PER, nouveau produit d'épargne retraite (5), a été mis en place en vue de remplacer à terme les anciens dispositifs : que faut-il en penser ?
L’objectif général de ce programme est de fournir aux participants les informations sur des points patrimoniaux et fiscaux afin de leur permettre de préparer au mieux leur cessation d’activité en anticipant les décisions concernant leurs compléments de pension et d’impliquer l’éventuel conjoint collaborateur dans cette réflexion.
Pour qui?
Généralistes et autres spécialistes
